Quel procédé pour souder les réservoirs de GNL ?

Avancées en matière de métaux d'apport pour les réservoirs de GNL

De l'extraction au traitement et du transport au point d'utilisation, l'exploitation du gaz naturel et du gaz naturel liquéfié (GNL) est inextricablement liée au soudage. 

La tendance mondiale visant à utiliser des énergies plus propres continue, elle,  à s'imposer. Composé de 85 à 95 % de méthane, le plus propre des gaz combustibles fossiles, le gaz naturel répond aux Etats-Unis aux besoins énergétiques de plus 1900 centrales électriques, d'environs 195000 sites industriels, et de plus de 60 millions de foyers américains. Au niveau mondial, le GNL remplace peu à peu le fioul lourd pour la propulsion des navires, l'Organisation Maritime Internationale ayant décidé de réduire la teneur permissible en soufre des carburants marins afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre.

La fabrication de réservoirs de GNL nécessite des dizaines de milliers de kilos de métaux d'apport pour le soudage, dont les prix peuvent être supérieurs à 50 $ au kilo.

Parmi les procédés les plus utilisés pour la fabrication de ces réservoirs, on peut certainement citer le soudage sous flux, le soudage avec fil fourré ou encore le soudage à l'électrode enrobée.

Dans cet article, des experts du secteur GNL de l'entreprise ESAB, qui accompagnent leurs clients aux quatre coins du monde, présentent certaines des nouvelles solutions qu'ils ont développées pour répondre spécifiquement aux difficultés qui peuvent s'imposer lors de la fabrication de réservoirs de GNL.

  • Auteur(s) : FARROW N.
  • Affiliation(s) : ESAB, Londres
  • Pays : Royaume-Uni
  • Source : Welding Journal, vol.100, n°2, février 2021, pp. 30-33 (4 pages) , en anglais
  • Cote ISDOC : WJ202102.30-33

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