La simulation numérique en CND est un outil apportant une meilleure compréhension des phénomènes physiques, une assistance et optimisation de la configuration du contrôle, et pouvant être aussi un outil de substitution aux campagnes d’essais souvent plus onéreuses. Ce webinaire sera consacré à l’illustration de ces 3 volets, au travers de différents cas d’application :
1. Impact de la forme et orientation d’une fissure sur la réponse en ondes guidées longue portée
2. Etude de faisabilité par ultrasons et Courant de Foucault
3. Simulation de courbes POD dans le cas du contrôle de soudures d’angles

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Le Groupe Institut de Soudure vous propose un webinair permettant de comprendre les évolutions de la norme NF EN ISO 9712 (ed 2022).

Il passera en revue les dispositions devant être mises en œuvre par l'employeur et par les agents de contrôle pour répondre aux exigences.

Des solutions pour optimiser le cycle de vie de vos certifications actuelles et à venir seront également présentées.

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Le soudage conduit à des modifications structurelles du métal dans la zone fondue et la zone affectée thermiquement. Pour que la soudure remplisse sa fonction, il est nécessaire de maîtriser ces phénomènes et de connaître le rôle des paramètres thermiques, mécaniques et métallurgiques au cours du soudage. C'est ce que permet cet ouvrage qui étudie successivement les effets métallurgiques des divers procédés de soudage, les phénomènes qui apparaissent lors de la fusion et de la solidification, de l'échauffement et du refroidissement, sans oublier les phénomènes de trempe et l'action des traitements thermiques et essais destructifs et non destructifs. Cet ouvrage est une référence absolue pour tous ceux qui veulent connaître les bases métallurgiques qui sont le fondement même des procédés de soudage.

De la pièce à faible valeur ajoutée à  celle offrant de réelle plus-value, la technologie du brasage fort ne cesse d’évoluer tant sur le plan des matériels que sur le plan métallurgique avec la recherche de nouvelles compositions d’alliages d’apport qui reste la clé de voute de l’assemblage. Sont présentés  les principes, avantages, limites et domaines d'applications de cette technologie,  des travaux de recherches sur les revêtements déposés sur les pièces avant brasage via différentes technologies (cold spray, voie humide ou voie sèche..), les moyens de chauffage au service des industriels.

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En 2005. L’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) a demandé à la COFREND de mener une réflexion approfondie sur les technologies pouvant se substituer à la radiographie ainsi que sur les méthodes de contrôle radiographiques exposant les opérateurs à de plus faibles doses qu’à l’heure actuelle.

En lien avec les SNCT, la COFREND a sollicité deux centres techniques, le CETIM et l’Institut de Soudure, qui avaient mené chacun des travaux sur cette problématique.

Cette association a abouti à la création d’un groupe de travail réunissant in fine des acteurs représentant largement la profession (la COFREND, l’AFIAP, , Le SNCT, le CETIM, et l’Institut de Soudure) et dont la volonté partagée a été d’élaborer un document regroupant une partie des résultats obtenus par les deux centres techniques.

Ce document publié sous la forme d’un cahier technique, doit permettre aux fabricants d’ESP de remplacer pratiquement la radiographie à l’iridium 92. En effet, si les travaux antérieurs avaient montré l’intérêt d’utiliser des techniques alternatives telles que le TOFD ou la radiographie au sélénium 75, il restait à accompagner les industriels en leur proposant une démarche d’intégration de ces nouvelles méthodes de contrôle au sein des processus de fabrication chaudronnées réalisées aujourd’hui selon les normes ou les codes de construction couramment utilisés.

Les pièces réalisées en FA arc-fil présentent un état de surface irrégulier inhérent au procédé de dépôt. En conséquence, le contrôle de ce type de structure et souvent associé à un usinage afin d’assurer la détectabilité des défauts. Toutefois cette opération supplémentaire est contraignante et couteuse. S’affranchir de cette opération est donc un challenge que ce soit au stade de la fabrication des murs qu’à l’étape du contrôle. Ce webinaire sera consacré dans une première partie à la fabrication des murs, du mode opératoire jusqu’à la réalisation des pièces. Elle sera suivi de l’évaluation de l’impact de l’état de surface sur la contrôlabilité des pièces en FA arc-fil, en radiographie X et ultrasons.

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Face à la nécessité prochaine de justifier l’emploi de la gammagraphie à l’iridium 192, les industriels doivent dès à présent se préparer à la mise en oeuvre de techniques alternatives de contrôle des soudures de leurs tuyauteries. L’Institut de Soudure, fort de sa longue expérience dans le domaine des contrôles non destructifs, a analysé les stratégies possibles de substitution, déterminé les techniques candidates, leurs domaines d’application et leur efficacité, dans le cadre de l’étude associative Alter-X regroupant plusieurs grands industriels : EDF, GRTgaz, Technip et Total. Ce guide est réalisé à partir des résultats de cette étude qui s’est achevée en 2008, et est bâti autour d’essais concrets. Il constitue un outil indispensable pour les industriels qui souhaitent anticiper un changement technologique qui s’annonce délicat. Ce guide présente les trois solutions de substitution les plus pertinentes :

• les contrôles par TOFD ;
• les contrôles par ultrasons multiéléments ;
• la radiographie numérique.

Ce Webinaire a été animé par Nicolas NOURRIT, Responsable de la plateforme technologique CND et IS Expert et Slah YAACOUBI, Expert en monitoring à l'Institut de Soudure

Aujourd’hui les contrôles non destructifs sont incontournables pour s’assurer de l’intégrité d’un composant en service. La plupart du temps, l’examen est fait par un opérateur positionnant une sonde à proximité immédiate de la zone d’intérêt.

Il existe cependant un nombre important de situations où cette configuration n’est pas possible : inspection en hauteur, présence d’obstacles, composant enfoui ou revêtu.

Ce webinaire a pour objectif de présenter les dernières avancées dans le domaine du contrôle des zones inaccessibles. 

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Ce webinaire  a été animé par Frédéric COPPEY, responsable activités Réservoirs et Drones et Serge DEMONTE, responsable activité opérationnelle CND avancé.

A la question : comment permettre des contrôles visuels dans des zones difficiles d’accès, sur tout type d’infrastructure, tout en limitant le facteur risque humain ainsi que le facteur risque matériel, la solution de l’utilisation d’un drone répond parfaitement.
Cette solution permet également de réduire les temps et les coûts d’intervention, donc d’immobilisation des équipements à examiner.

Les intervenant présentnt à travers divers cas d’applications indoor/outdoor, les possibilités de contrôles dans les spectres visibles et invisibles ainsi que les perspectives d’évolution : mesures CND, reconstruction 3D, aide à l’inspection.

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Le soudage conduit à des contraintes dans les pièces assemblées. Après un rappel des principales caractéristiques physiques des métaux, l'auteur expose les principales déformations et contraintes, l'influence du choix judicieux des séquences de soudage, des exemples d'application au soudage. Ouvrage volontairement simple, à l'usage de tous ceux qui ont à concevoir une construction soudée ou prévoir des séquences de soudage.

Parmi plus de 200 procédures d’essai permettant d’évaluer la sensibilité des matériaux à la formation de fissures pendant et/ou après l’opération de soudage, la transposition des résultats d’essais de fissuration sur des cas concrets semble parfois délicate. Il s’agit pourtant de moyens expérimentaux relativement simples à mettre en œuvre, et permettent d’appréhender au mieux les problèmes pouvant survenir pendant et/ou après la fabrication. Pour vous aider à définir le type d’essai le plus pertinent vis-à-vis de votre application industrielle, une explication détaillée des essais de fissuration à froid les plus courants sera apportée, avec l’exposition de quelques résultats concrets.

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Sommaire de la présentation :

Friction Sir Welding : Généralités & Cas particulier des matériaux à haute température de fusion

Motivations de l’étude / Cas d’application

Campagne expérimentale

Caractérisations : Métallurgique & Mécanique

Conclusions

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Retours d’expérience, difficultés d’interprétation, enregistrements des essais de vérification de l’aptitude des procédés automatisés de coupage thermique.

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Ce webinaire présentera la réplique métallographique, un moyen de caractérisation non destructif de surface, applicable in situ, permettant le suivi de l'état métallurgique des équipements au cours de leur vie ou la caractérisation de défauts débouchants. Après un rappel des principes de la méthode, mettant en avant ses avantages et précisant ses limites, plusieurs cas pratiques seront abordés durant ce webinaire, illustrant les possibilités apportées par cette technique.

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Cette conférence a pour objectif de passer en revue les différents aspects relatifs à l’exposition des travailleurs aux fumées de soudage et l’effet des dernières dispositions réglementaires dans ce domaine sur la protection du personnel.
On s’intéressera notamment à l’origine et à la composition chimique des fumées, leur nocivité en fonction des produits et des procédés mis en œuvre, mais aussi les divers moyens disponibles pour réduire l’exposition ainsi que leur efficacité. Le cas du chrome hexavalent sera bien entendu abordé.
En juillet 2020, la valeur limite d’exposition du manganèse sera divisée par 20… et celle du nickel pourrait à terme être divisée par 200. Il est cependant possible d’anticiper l’effet de ces dispositions réglementaires dans les ateliers.

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Ce webinaire a un double objectif :
- Faire un état des lieux des changements à venir concernant la règlementation relative à l’exposition du personnel aux fumées de soudage. Comme par le passé, la tendance est à la baisse du niveau d’exposition. Des simulations seront présentées pour voir l’impact règlementaire des changements à venir suivant le procédé ou le type de produit d’apport de soudage utilisé.
- Présenter les résultats d’une étude menée récemment pour la Commission Interprofessionnelle Soudage, avec l’appui de la CARSAT Bretagne et de l’INRS, laquelle a permis de dresser un panorama de l’exposition des soudeurs et des opérateurs aux champs magnétiques. Comme pour les fumées de soudage, l’exposition aux champs magnétiques fait l’objet d’une règlementation. En tout, plus de 150 mesures ont été réalisées pour divers procédés communs de soudage à l’arc (TIG, MAG, EE, sous flux en poudre), différentes générations de postes à souder et différents réglages électriques, ce qui permet de savoir en première approche quelles sont les situations pouvant conduire à dépasser les valeurs limites d’exposition et prendre des mesures préventives.

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Ce webinaire  a pour objectif de présenter la  norme IEC 62822-3 Ed2 : Electric welding equipment - Assessment of restrictions related to human exposure to electromagnetic fields (0 Hz to 300 GHz) – part 3: resistive welding equipment.

• La première édition de la norme IEC 62822-3 a été publiée en 2017. Une révision de celle-ci était nécessaire car son application peut entraîner une sous-évaluation d’exposition parfois importante. Aussi l’édition 2 a complétement revu les aspects techniques. Elle est également plus complète et propose des méthodes d’évaluation de l’exposition de simplifiées à complexes. Cette norme vise à être pratique, de ce fait, elle peut être mise en œuvre aussi bien par les fabricants de matériels que les utilisateurs.
• Le champ de cette norme est aussi la large car elle concerne les matériels de soudage résistifs quel que soit le procédé (par exemple, LF-AC ou MF-DC, par point, à la molette, par décharge de condensateur/goujons) à partir du moment où la géométrie du circuit électrique de soudage reste fixe durant le procédé comme pour les pinces à souder.
• Etat d'avancement : diffusion au WG du projet final (FDIS) dernière étape avant sa publication (IS) prévue fin de cette année. Le retrait officiel de l’édition 1 est imminent.

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Les problèmes de fissuration à chaud (FAC) sont abordés moins fréquemment que ceux concernant la fissuration à froid. Néanmoins, les mécanismes sont assez variés et méritent d’être détaillés. Ce webinaire va également permettre de passer en revue les principaux essais de soudabilité permettant d’évaluer la sensibilité des matériaux à FAC. Des exemples (divers cas concrets de FAC) seront présentés, avec notamment les solutions mises en œuvre… quand il y en a. Les familles d’alliage concernées seront les bases Ni-Cr, Fe, Al et Co. 

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Cette conférence sera l’occasion d’exposer différentes techniques offrant aux industriels la possibilité d’expertiser ou de caractériser sur site et de façon non destructive, les métaux et alliages. Ces techniques permettent d’analyser la microstructure, la composition chimique, et la dureté des alliages via des moyens portatifs, sans obligatoirement avoir recours au prélèvement d’échantillons. Seront présentées :

• La méthode des répliques métallographiques aux avantages multiples
• Les mesures de dureté sur métaux et soudures
• Les techniques d’analyse chimique in-situ des métaux (fluorescence X, spectrométrie à l’arc, prélèvement de copeaux, spectrométrie à plasma induit par laser)
• D’autres techniques utilisables pour contrôler ou expertiser les constructions métalliques (mesure de la ferrite sur aciers inoxydables, réalisation de prélèvements, etc.).
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Ce document est une véritable référence en ce qui concerne les dispositions à adopter pour le contrôle manuel par ultrasons des soudures à pleine pénétration. L’Arrêté Ministériel du 24 mars 1978 considère en effet dans son annexe III que "la bonne pratique en matière d'examen par ultrasons est donnée par le document IS.US.319.21 de l'Institut de Soudure".

On pense à tort qu’il suffit d’une pince ampérométrique, d’un chronomètre et d’une calculatrice pour déterminer l’énergie de soudage. Or suivant l’instrument de mesure, ses caractéristiques et la procédure de mesure retenue, on peut dans certains cas se retrouver avec une erreur de 70 % par rapport à la réalité ! On imagine les conséquences que ce niveau d’erreur peut avoir lorsque l’on soude des matériaux présentant une certaine sensibilité à la fissuration à froid ou à chaud. Ce webinaire permettra, au travers de cas très concrets issus d’une étude CIS-FIM (Commission Interprofessionnelle Soudage de la Fédération des Industries Mécaniques), de se rendre compte des erreurs de mesure en fonction du procédé mis en œuvre et des paramètres utilisés. Des recommandations seront également apportées pour les éviter.

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Ce webinaire est animé par Nicolas BECKER, expert en fatigue à l'Institut de Soudure.
Ce webinaire a pour objectif de donner un aperçu sur la tenue en fatigue des structures soudées. En effet, lorsqu’une structure est soumise à des chargements variables dans le temps (voiture, train, avion, pont, etc.), elle est susceptible de présenter un risque de fissuration en fatigue pour des niveaux de sollicitation bien inférieurs à la limite élastique du matériau, selon le niveau de chargement et le nombre de cycles de charge.
Les principales différences entre la tenue en fatigue du métal de base et d’un joint soudé seront évoqués.
Ce webinaire montre également de quelle manière il est possible d’optimiser la durée de vie des équipement soumis à des sollicitations variables, en balayant les possibilités d’amélioration des soudures jusqu’au monitoring des chargements mécaniques.

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Ce webinaire est animé par Jérôme RAYNALS, directeur marchés composites et aéronautiques

La thermographie Infrarouge de dernière génération qui fait l'objet de cette présentation est une solution technique permettant la détection des défauts conventionnels recherchés en aéronautiques tout en diminuant les temps de contrôles et les coûts associés

Cette solution permet de garantir des cadences de contrôle compatibles avec les cadences de production avion, ce qui demeure une difficulté avec les technologies conventionnelles comme l'ultrason.

Les sociétés IS et PEI se sont associées pour mettre au point et intégrer cette technologie pour proposer une solution globale technologique et technique aux industriels.

Cette présentation traitera de la technologie (avantages, performance et limites) et de l'équipement de contrôle réalisé.

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L’objectif de cet ouvrage est de donner l'éclairage de la métallurgie, indispensable à qui veut prétendre à la maîtrise de la mise en œuvre des alliages d'aluminium et plus particulièrement de leur soudage.

Une première partie concerne les généralités sur les alliages d'aluminium, leurs propriétés et domaines d'emploi, leur mise en œuvre. Les bases de la métallurgie physique des alliages d'aluminium sont également abordées.

La seconde est consacrée aux soudage et techniques connexes et aux propriétés des assemblages. De nombreuses annexes apportent les données utiles pour la construction en alliages d'aluminium.

Le chapitre 1 de cet ouvrage est consacré à l'étude de la notion de qualité dans le contexte particulier du soudage ainsi qu'à la place qu'y occupent les contrôles non destructifs. II est nécessaire pour une utilisation efficace de ces contrôles, de bien connaître l'origine et la morphologie des défauts éventuels auxquels le chapitre 2 est entièrement dévolu. Les méthodes de contrôle non destructif les plus utilisées en soudage ainsi que leurs désignations abrégées internationales et capacités de pénétration de la matière sont consignées au chapitre 3. L’évaluation des défauts de soudure fait, depuis quelques années, intervenir deux concepts complémentaires auxquels le chapitre 4 est consacré. Quels que soient les défauts susceptibles d'être rencontrés dans une soudure, il importe de choisir la ou les méthodes de contrôle non destructif les mieux adaptées à la détection et à la caractérisation de ceux-ci et dont dépend largement la qualité finale du produit. Les nombreux facteurs qui sont à considérer pour cela sont étudiés au chapitre 5.

Ce webinaire aura pour objectif de présenter enjeux et  applications  des «Réparations par patch Composites » :

• Contexte
• Les différents types de réparations composites
• Application des réparations (tous types de support métal/composite)
• Services proposés par le Groupe Institut de Soudure dans ce domaine

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Ce manuel, tout en rappelant en détail les procédés matériels et modes opératoires de brasage, comporte des informations pratiques concernant les techniques d’assemblage et de montage, les conditions spéciales de brasage pour différents matériaux tels que le titane, le zirconium, le béryllium, le tungstène, les carbures, les céramiques et les graphites, ou encore les métaux précieux utilisés pour contacts électriques. Il s'agit en fait d'une traduction en français de la troisième édition du "Brazing Manual" publiée par l’American Welding Society en 1975.

Les diverses applications du brasage tendre dans les domaines de l’électronique, de l’aéronautique, de l’espace, etc. ont favorisé l’essor de ce procédé ; il s’en suit une documentation technique abondante concernant les produits d’apport, les caractéristiques des assemblages brasés et des données nouvelles sur les métaux ou des applications spécifiques qui se trouvent incorporées dans cet ouvrage, qui est une traduction en français de la deuxième édition du "Soldering Manual" publiée par l’American Welding Society en 1977.

Après un rappel historique sur les procédés de coupage thermique, l'ouvrage expose le principe des trois grands procédés que sont l'oxycoupage, le coupage au plasma, le gougeage Arcair, puis précise les domaines d'emploi respectifs de ces procédés, sans oublier l'étude des déformations dues au coupage. Sont ensuite étudiés l'utilisation manuelle de ces procédés (processus opératoire, guides de coupes, etc.), puis les procédés automatiques, avec un examen des divers types de machines, de guidage, de suivis de contours, etc.

Après avoir rappelé dans le tome 1 les principes des procédés de coupage thermique et étudié leur utilisation manuelle, puis décrit les divers types de machines, l'auteur consacre ce tome 2 à la mise en œuvre de ces machines. Cette mise en œuvre commence par l'implantation choisie en fonction des moyens de stockage et manutention des tôles, des coupes et des déchets, un scellement satisfaisant, l'alimentation en gaz, eau, électricité. Ensuite est largement décrite la conduite d'une opération d'oxycoupage : précautions pour prévenir les déformations, l'oxycoupage des tôles de fortes épaisseurs ou des tôles en paquets, des tôles prépeintes ou en acier allié, en chanfrein ou à la poudre de fer, sans oublier l'aspect productivité et la disposition judicieuse des coupes pour une utilisation optimale de la tôle. La même étude est faite pour l'oxycoupage, avant une étude des différents gabarits utilisés pour le coupage, ou les commandes numériques. L’ouvrage se poursuit par l'examen des précautions à prendre pour assurer la précision de la coupe et pour l'entretien du matériel, et se termine par l'étude des règles d'hygiène et sécurité à respecter et de la détermination du prix de revient. C'est toute l'expérience de l'auteur qui apparaît dans cet ouvrage riche en informations pratiques à l'usage des utilisateurs du coupage thermique.

Afin de s’adapter à l’évolution des techniques, des pratiques et des marchés, le corpus des documents normatifs applicable dans le domaine du soudage est en constante évolution.

L’objectif de ce webinaire sera dans un premier temps de présenter le contexte des travaux de normalisation, avec ses principes de fonctionnement et ses instances, avant une présentation plus détaillée des principaux travaux en cours et à venir.

Dans un second temps, on évoquera de manière plus détaillée les évolutions qui affecteront les futures éditions de trois normes phare du domaine, à savoir l’ISO 14732, relative à la qualification du personnel mettant en œuvre les procédés de soudage mécanisés et automatisés, la série des ISO 9606, traitant de la qualification des soudeurs, et la série des ISO 15614 consacrée à la qualification des modes opératoires de soudage.

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On pense à tort qu’il suffit d’une pince ampérométrique, d’un chronomètre et d’une calculatrice pour déterminer l’énergie de soudage. Or suivant l’instrument de mesure, ses caractéristiques et la procédure de mesure retenue, on peut dans certains cas se retrouver avec une erreur de 70 % par rapport à la réalité ! On imagine les conséquences que ce niveau d’erreur peut avoir lorsque l’on soude des matériaux présentant une certaine sensibilité à la fissuration à froid ou à chaud. Ce webinaire permettra, au travers de cas très concrets issus d’une étude CIS-FIM (Commission Interprofessionnelle Soudage de la Fédération des Industries Mécaniques), de se rendre compte des erreurs de mesure en fonction du procédé mis en œuvre et des paramètres utilisés. Des recommandations seront également apportées pour les éviter. 

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Ce webinaire a pour objectif de présenter divers procédés de soudage permettant de gagner en productivité, soit :

• En soudant plus vite, ce qui présente un intérêt notamment dans le cas de pièces « fines »
• En augmentant le taux de dépôt, qui est un facteur déterminant dans le cas de pièces « épaisses »
• En réduisant le nombre de passes à dépos

C’est l’occasion de découvrir ou de redécouvrir un éventail très large de procédés capable de répondre à des impératifs de productivité. On peut notamment citer :

• Les variantes TIG et MIG-MAG à forte pénétration
• Les technologies MIG-MAG tandem et avec fil de fort diamètre
• Le soudage sous flux avec apport de fil froid
• Le soudage laser, y compris sous vide
• Le soudage en chanfrein étroit
• Les procédés hybrides laser-MAG et plasma/MIG-MAG

L’objectif est de rappeler brièvement le principe de chaque procédé, puis d’en donner les avantages, limites et domaines d’applications. Outre l’aspect purement «  procédé » se pose aussi la question de la métallurgie : qu’en est-il des propriétés mécaniques des joints soudés lorsque l’on réduit le nombre de passes voire si l’on ne se retrouve plus qu’avec une seule passe ? Ce point est également abordé.

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Ce Webinaire animé par les Experts de l’Institut de Soudure a pour but de présenter aux industriels de l’O&G, de l’énergie, de la chimie,… notre nouveau service opérationnel PSIS (Pipeline Support Inspection Service).

Ce service qui consiste en la recherche et l’évaluation de la corrosion sous support de tuyauterie, sans dépose de celle-ci ou autre levée de ligne, répond par des approches innovantes à des enjeux de sécurité majeurs.

Sur la base d’une présentation de la technique, de ses performances et d’exemples concrets d’application, il est démontré, au cours de ce Webinaire, la capacité de PSIS à garantir la sécurité des installations, répondre aux exigences de la règlementation et des autorités et ainsi pérenniser la production des unités.

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La radiographie est souvent pointée du doigt pour des raisons de sécurité et de sureté. C’est pourtant l’une des méthodes de CND les plus couramment employée dans l’industrie depuis plusieurs décennies. Les enjeux sont importants, les méthodes alternatives doivent également répondre à de nombreux critères : sécurité, viabilité financière, et surtout performances de détection des défauts.

Des solutions de remplacement à la radiographie sont déjà utilisées dans diverses applications industrielles. Plusieurs exemples de méthodes alternatives seront présentés lors de ce webinaire. La plus répandue est la méthode ultrasonore pour le contrôle de compacité de soudures métalliques ou non métallique. Les Courants de foucaults sont quant à eux une alternative principalement employée pour la détection de défauts surfaciques, mais nous verrons qu’elle commence également à se développer pour le contrôle de structure de fine épaisseur.

Le choix de la méthode de CND dépendra de plusieurs facteurs, tels que le type de matériau à inspecter, la taille et na nature des défauts recherchés, les exigences de sensibilité, la portabilité nécessaire, les coûts…

Enfin, la difficulté de remplacement d’une méthode CND par une autre est complexe puisque chacune d’entre elles présente ses avantages et ses limites en termes de performance de détection, de localisation, et de classification / caractérisation des indications détectées. L’évaluation de l’analyse du risque du remplacement d’une méthode par une autre au travers la démarche OPC (Occurrence, Performance, Criticité) sera présentée en fin de ce webinaire.

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Première synthèse en langue française traitant de l'emploi des rayonnements ionisants pour le contrôle des matériaux, structures et assemblages. Le tome 1 est consacré à l'émission, l'absorption et la détection des rayonnements ionisants.

Après avoir traité de l'émission, de l'absorption et de la détection des rayonnements ionisants dans le premier volume de cet ouvrage, l'auteur traite dans ce tome 2 de la mise en œuvre des procédures radiologiques, tant pour celles qui sont les plus usuelles (radiographie) que pour celles qui font l'objet de développements récents (radiologie numérique, tomographie, etc).

Ce webinaire a  passé en revue les différentes approches : calcul par formules, calcul par analyse, calcul par la mécanique de la rupture.

Gratuit pour les membres de l'IS : accédez au replay

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Ce second tome consacré à la qualité des revêtements réalisés par soudage ou par projection thermique s'articule autour de trois parties :

• les éléments à prendre en considération ;
• la méthode pour obtenir la qualité ;
• l'étude de 7 cas d'usure par des industriels, en utilisant la méthode décrite précédemment.

Cet ouvrage constitue le 1^er ouvrage de référence dans ce très vaste domaine de technologies et d'applications. II apporte à la fois des connaissances et une méthode pour résoudre des problèmes d'usure liés à ces techniques en plein développement.

Cet ouvrage est une totale refonte, avec de nombreux ajouts, du livre initialement publié en 1986. Les chapitres concernant les notions d'électricité et d'électronique nécessaires au soudeur pour bien comprendre ce qu'il fait et installer si nécessaire son atelier ont, en particulier, été très largement étendus (notamment l'électronique), avec le souci de limiter les exposés trop mathématiques au profit de l'explication physique. Les derniers chapitres sont une présentation du soudage à l'arc, exposant les données de base communes à tous les procédés, tant en ce qui concerne l'arc électrique que les questions de sécurité et d'installation.

II faut noter que toute la partie concernant électricité et électronique, soit près des trois quarts de l'ouvrage, est valable pour tous les procédés de soudage électrique.

Dans le choix et l'étude des questions abordées, l'auteur a tenu compte de son expérience d'enseignement, notamment des questions posées pendant les scolarités, et ensuite par les anciens élèves. II s'agit donc bien d'un livre répondant à des problèmes concrets posés par les soudeurs.

Application au soudage électrique à l'arc avec électrodes enrobées des notions exposées dans le tome 1 : principes, matériels et produits, conseils pratiques pour la conception et la préparation des pièces en métaux ferreux et non ferreux. Quelques notions concernant la métallurgie du soudage, les défauts et les contrôles.

Écrit dans le même esprit que le volume 2 consacré aux procédés avec  électrodes enrobées, cet ouvrage traite successivement du soudage avec fil fusible, avec ou sans gaz de protection, et du soudage avec électrode réfractaire (TIG ou plasma).

Ce webinaire est animé par Fabrice SCANDELLA, senior expert Procédés et Matériaux et Aurélien ROBINEAU, responsable technique laboratoire de métallurgie.

Il a pour objectif d‘aborder le soudage des alliages base nickel, notamment sous l’angle de leur soudabilité métallurgique et opératoire. Avant d’aborder les problèmes que l’on peut rencontrer en cours de soudage, on s’intéresse aux différents alliages disponibles sur leur marché, aux propriétés qu’ils confèrent et aux applications industrielles qui en découlent.

Du côté des difficultés que l’on peut rencontrer lors du soudage, on peut citer divers mécanismes de fissuration à chaud, la formation de porosités ou encore les manques de fusion. A chaque fois, des solutions pouvant être mises en œuvre pour se prémunir de ces défauts seront données, ainsi que des conseils de mise en œuvre avec divers procédés de soudage.

Le cas un peu particulier des superalliages base Ni est  également abordé sous la forme d’une étude de cas, puisqu’il y a aujourd’hui des solutions pour les souder avec le procédé 141. Une autre étude de cas concerne  le soudage d’alliages plus classiques avec le procédé 121.

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Ce webinaire a pour objectif d‘aborder le soudage des alliages parfois appelés « légers » que sont les alliages d’aluminium et de titane. Les deux familles de matériaux seront abordées séparément pour s’intéresser aux problématiques spécifiques à leur mise en œuvre en soudage.

Avant d’aborder l’aspect soudage, on s’intéressera, en guise d’introduction, aux différents alliages disponibles et à leurs propriétés.

Ensuite, du côté des difficultés (et des solutions pouvant être mises en œuvre), on peut citer la fissuration à chaud, les porosités et manques de fusion lors du soudage des alliages d’aluminium et les problèmes d’oxydation lors du soudage des alliages de titane.

Pour conclure, on s’intéressera également au choix du procédé de soudage en fonction de la qualité requise pour les soudures, la facilité opératoire ou encore les aspects coûts et productivité.

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Ce webinaire a été animé par Fabrice SCANDELLA, senior expert en matériaux et procédés à l'Institut de Soudure et Amarilys BEN ATTAR, Responsable du Centre Brasage –Soudage diffusion - FSW.

Il a pour objectif de faire le point sur les aspects technico-économiques du soudage par friction-malaxage (FSW) dans le cas des « matériaux durs », c’est-à-dire autre que les alliages d’aluminium. En effet, dès sa découverte au début des années 90, les nombreux avantages du procédé FSW ont rapidement été établis dans le cas du soudage des alliages d’aluminium, si bien qu’il demeure le meilleur procédé pour cette famille de matériaux, surtout pour ce qui est de la qualité des assemblages soudés.
L’assemblage d’alliages d’aluminium est certes une opportunité majeure pour le procédé FSW, mais le soudage d’autres familles de matériaux, notamment celle des aciers, est encore plus grande au vu de la quantité utilisée en mécano-soudage.
Ce webinaire permet de voir d’une part les difficultés inhérentes à l’assemblage de matériaux autres que l’aluminium (aciers C-Mn et inoxydables, alliages base Cu, Ni et Ti, ainsi que des assemblages hétérogènes et des matériaux composites à matrice métallique), mais aussi les solutions qui ont été trouvées et les perspectives pour l’industrialisation. Les récents développements réalisés à l’Institut de Soudure sur ces sujets sont également évoqués.

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L'approche du soudage par résistance, proposée dans l'ouvrage de Claude DROUART, est issue de sa riche expérience pour ce qui est de la mise en œuvre concrète du procédé. Elle est notamment fondée sur l'étude et l'interprétation d'environ 15000 essais concrets d'assemblages soudés par résistance. Cet ouvrage est aussi le fruit d'une longue expérience pédagogique, dans la formation des opérateurs, des techniciens, des agents de méthode, des concepteurs et des ingénieurs.

La compréhension des analyses et informations afférentes au procédé, n'exige pas une culture technique de niveau supérieur. L'auteur a cherché ainsi à intéresser toute personne souhaitant utiliser le soudage par résistance, depuis l'opérateur jusqu'à l'ingénieur.

Pour la plus grande partie des variantes de l'application, l'ouvrage est émaillé de tableaux de données soudage par points, par bossages, à la molette, en bout, et soudobrasage, sur différents métaux et alliages, parmi les plus usuels. Ces données paramétriques sont indicatives, mais permettent néanmoins à l'utilisateur de cibler plus rapidement le résultat cherché.

Ce webinaire a  passé en revue les aspects scientifiques et technologiques du rechargement dur, qui présente à la fois de nombreux points en commun avec le soudage, mais aussi des particularités qui en font parfois un « monde à part ».

Après une courte introduction pour montrer l’intérêt du rechargement dur, on s’est intéressé aux différents types de consommables disponibles sur le marché, à la métallurgie de cinq grandes familles de produits, aux procédures de rechargement et bien entendu aux procédés pouvant être mis en œuvre du point de vue de leurs avantages et limites. Une partie de la présentation est dédiée à l’usure par abrasion, pour aborder les essais en laboratoire et in situ, ainsi que la performance que l’on peut attendre de divers produits de rechargement dur. Des exemples de pièces rechargées dans divers secteurs industriels  ont également été présentés.

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